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CITATIONS 7

MARTIN LUTHER KING : « La non-violence est une arme juste et puissante, unique dans l’histoire,

qui coupe sans blesser et anoblit l’homme qui la brandit. »

ANGELUS SILESIUS : « La rose est sans pourquoi, elle fleurit parce qu’elle fleurit,

elle ne se soucie pas d’elle-même, elle ne se demande pas si on la voit. »

PARACELSE : « Ce n’est pas que l’on ait besoin de toi pour vivre,

mais bien que tu es la Vie même. »

SAGESSE HINDOU : »Si tu veux véritablement connaître le coeur d’une personne,

observe comment elle se comporte avec les gens qui ne peuvent rien lui apporter. »

PAULO COELHO :- « La liberté n’est pas l’absence d’engagement, mais la capacité de choisir. »

– « La seule chose qui puisse empêcher un rêve d’aboutir, c’est la peur d’échouer. »

PIERRE LECOMTE DU NOUY :  »Dans la vie courante , dans ses relations avec ses pareils,

l’homme doit se servir de sa raison, mais il commettra moins d’erreur s’il écoute son Coeur; »

ANTOINE DE SAINT EXUPÉRY : « Tu fondes ce que tu t’occupes et rien de plus. »

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VIVEKANANDA

(1862 – 1902)

– « Là où les changements de la nature ne peuvent se faire sentir, pensée au-delà de toute pensée, Inchangeable, Immuable; Celui que tous les livres annoncent, que tous les sages adorent. Être saint, ne cherche rien d’autre ! « – « Impossible à comparer, Unité infinie ! Aucune comparaison n’est possible. De l’eau en haut, de l’eau en bas, de l’eau à droite, de l’eau à gauche; sur cette eau nulle vague, nulle ride; tout est silence, tout est béatitude éternelle. C’est cela qui apparaîtra dans ton coeur. Ne cherche rien d’autre ! »– « Pourquoi pleures-tu, mon frère ? Pour toi il n’est ni mort ni maladie. Pourquoi pleures-tu, mon frère ? Pour toi il n’est ni misère, ni malheur. Pourquoi pleures-tu, mon frère ? Ni changement ni mort n’ont été prédits pour toi. Tu es Existence Absolue. »– « L’Esprit se réfléchit dans le mental et dans tout. C’est la lumière de l’esprit qui rend le mental sensible. Tout est expression de l’Esprit; les entendements sont autant de miroirs. Ce que vous appelez amour, crainte, haine, vertu et vice ne sont que des réflexions de l’Esprit. Lorsque le miroir est défectueux, l’image est mauvaise. »– « Le véritable est un. C’est le mental qui le fait paraître multiple. Lorsque nous percevons la diversité, l’unité a disparu; dès que nous percevons l’unité, c’est la diversité qui n’est plus. »– « Nous disons que toutes différenciations résultent du nom et de la forme, et pourtant lorsque nous voulons saisir et isoler le nom et la forme, nous ne les trouvons nulle part. Nous ne pouvons jamais voir isolément le nom ou la forme ou les causes. Aussi ce phénomène est-il Mâyâ — quelque chose qui dépend du noumène et n’a pas d’existence séparément du noumène. Considérez une vague dans l’océan. Cette vague existe tant que la masse d’eau correspondante conserve la forme de vague; mais dès qu’elle retombe et devient l’océan, la vague cesse d’exister. L’ensemble de la masse d’eau pourtant ne dépend guère de sa forme. L’océan subsiste tandis que la forme de vague tombe à un zéro absolu. »– « En réalité, il n’y a pas de différence entre la matière, le mental et l’esprit. Ce ne sont que des étapes différentes dans l’expérience que nous faisons de l’Un. Ce même monde est vu par nos cinq sens comme de la matière, par les très pervers comme un enfer, par les bons comme un paradis, et par les êtres parfaits comme Dieu. »– « Jnâna (la connaissance) est « absence de credo », mais cela ne veut pas dire qu’il méprise les croyances. Cela signifie seulement qu’on est arrivé à une étape supérieure, au delà des credos. »– « Un fleuve immense coule vers l’océan, emportant çà et là de petits bouts de papier, des brins de paille. Ceux ci peuvent s’efforcer de remonter le courant, mais à la fin il leur faudra bien aller jusqu’à l’océan. De même vous et moi, et toute la nature, sommes comme des fétus de paille emportés par des courants furieux vers cet océan de Vie, Perfection, Dieu. Nous pouvons nous débattre pour remonter, nager contre le courant, et recourir à toutes sortes d’astuces, mais au bout du compte il nous faudra rejoindre ce vaste océan de Vie et de Béatitude. »– « L’âme est un cercle dont la circonférence n’est nulle part (c’est à dire qu’elle n’a pas de limites), mais dont le centre est dans un corps. La mort n’est qu’un changement de centre. Dieu est un cercle dont la circonférence n’est nulle part et dont le centre est partout. Quand nous pourrons sortir de ce centre limité qu’est le corps, nous réaliserons Dieu, notre vrai moi. »– « Chaque âme se meut pour ainsi dire selon un cercle, et elle devra le compléter. Nulle n’est descendue si bas qu’un moment ne vienne où elle devra remonter. Elle peut commencer tout en bas, mais elle devra reprendre la courbe montante pour compléter le circuit. Nous sommes tous projetés d’un centre commun, qui est Dieu, et nous reviendrons, après avoir achevé notre circuit, au centre d’où nous sommes partis. »– « Tous les pouvoirs de l’univers sont déjà à nous. C’est nous qui nous sommes caché les yeux avec nos mains et qui crions qu’il fait noir. Sachons qu’autour de nous il n’est pas de ténèbres. Otons les mains de devant nos yeux et la lumière paraîtra, qui était là de toute éternité. »Source : Œuvres complètes, Volume V, article intitulé « Jnana Yoga, notes d’une causerie »Voir site : http://www.onelittleangel.com/sagesse/citations/saint.asp?mc=173

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DÖGEN

(1200 -1253)

‘’Pratiquer le Zen, c’est se connaître soi-même.

Se connaître soi-même, c’est s’oublier.

S’oublier, c’est être un avec tout ce qui est.

Être un avec tout ce qui est, c’est aller au-delà du corps et de l’esprit.

C’est dépasser l’éveil tout en le manifestant constamment.’’

(Source : Se connaître c’est s’oublier’’ – Albert Low – Les Éditions du Relié)

‘’Un des aspects les plus originaux de sa pensée concerne sa conception du rapport de la partie avec le tout. Selon Dōgen, on ne peut saisir la réalité des choses que sous une forme déterminée. Ainsi, la vérité bouddhique ne peut apparaître que sous une forme déterminée. Chaque partie de la totalité du monde représente cette totalité sous une forme particulière. On peut donc saisir tout l’univers à travers la présence d’un seul brin d’herbe, à condition de saisir toute la nature de ce brin d’herbe. La présence d’un brin d’herbe peut donc représenter la vérité bouddhique. Cette conception s’applique aussi au temps. Le temps n’apparaît lui aussi que sous une forme déterminée appelée instant. La conception successive du passé/présent/futur est illusoire. Seul l’instant présent est réel. Par conséquent, chaque instant, aussi bref soit-il, « re-présente » le temps dans sa totalité sans qu’il soit nécessaire d’attendre d’autres instants. La vérité bouddhique du temps est le temps tel qu’il est, le présent instantané, maintenant.

Un instant qui représente tous les instants, un brin d’herbe en présence qui représente tous les êtres symbolisent la vérité bouddhique d’une manière beaucoup plus adéquate que par le langage. La vérité bouddhique est donc toujours plus ou moins en conflit avec les expressions conceptuelles qui tentent de l’exprimer. C’est pourquoi les différentes expressions de cette vérité à travers l’histoire ne sont que différentes expressions de ce conflit.’’

Source: voir site = https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C5%8Dgen

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