L’ÂNE AU FOND DU PUITS
Une belle leçon de vie !

Un jour, l’âne d’un fermier est tombé dans un puits.
L’animal gémissait pitoyablement pendant des heures,
et le fermier se demandait quoi faire.
Finalement, il a décidé que l’animal était vieux
et le puits devait disparaître de toute façon,
ce n’était pas rentable pour lui de récupérer l’âne.

Il a invité tous ses voisins à venir et à l’aider.
Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer l’âne dans le puits.
Au début, l’âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier terriblement.
Puis à la stupéfaction de chacun, il s’est tu.

Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits
et a été étonné de ce qu’il a vu.
Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui,
l’âne faisait quelque chose de stupéfiant.
Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.
Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l’animal,
il se secouait et montait dessus.
Bientôt, chacun a été stupéfié que l’âne soit hors du puits et se mit à trotter!’


La vie va essayer de t’engloutir de toutes sortes  »d’ordures ».
Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer.
Chacun de tes ennuis est une pierre qui permet de progresser.
Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n’arrêtant jamais.
Il ne faut jamais abandonner!
Secoue-toi et fonce!

Rappelle-toi, les cinq règles simples à ne jamais oublier,
surtout dans les moments les plus sombres.
Pour être heureux / heureuse :
1 : Libère ton cœur de la haine.
2 : Libère ton esprit des inquiétudes.
3Â :Vis simplement.
4Â : Donne plus.
5Â : Attends moins
Auteur inconnu
(Ce B.A.-BA du mieux vivre ensemble a été transmis via e.mail
par de  »Bons.Amis.-Bienveillants Aimants »;-) !!! )
1ère version
UNE SEULE TRACE DANS LE SABLE
Au cours de la nuit de Noël, je fis un songe :
cheminant sur la plage avec le Christ,
je vis la toile de ma vie refléter tous les jours des années écoulées.
Je regardai en arrière et j’aperçus sur le sable des traces de pas,
les miennes et celles du Seigneur.
Ensemble nous continuâmes d’avancer
jusqu’à ce que mes jours fussent achevés.
Alors, à nouveau, j’ai regardé en arrière et j’ai constaté
que par endroits il n’y avait qu’une seule trace.
Cela coïncidait exactement avec les jours
les plus difficiles de ma vie :
les jours de plus grande angoisse et de plus grande peur,
et de plus grande douleur.
J’ai interrogé le Seigneur :
« Tu m’avais pourtant promis que Tu serais avec moi
tous les jours de mon existence.
J’avais accepté de vivre avec Toi :
pourquoi m’as-Tu laissé seul dans les pires moments ? »
Le Seigneur me répondit :
« Mon fils, Je t’aime,
c’est vrai, Je t’avais promis d’être avec toi
durant toute la randonnée
et de ne jamais te laisser seul.
J’ai tenu ma promesse :
quand sur le sable il n’y a qu’une seule trace
c’est que, ces jours-là , Je te portais dans mes bras. »
D’après Ademar De Borros
Poète brésilien
2ème version
DES PAS DANS LE SABLE
Une nuit, je fis un rêve :
je cheminais sur la plage avec mon Seigneur.
Sur le ciel noir, des épisodes de ma vie furent projetés
comme sur un immense écran.
Et sur le sable je voyais à chaque fois deux traces de pas :
les miens et ceux de mon Seigneur.
Après la dernière scène de ma vie, je me retournai.
Je fus surprise de voir par endroits
les traces d’une seule personne.
Je me rendis compte
que je traversais alors les moments les plus difficiles
et les plus tristes de ma vie.
Inquiète, je demandai au Seigneur :
« Le jour où j’ai décidé de te suivre
Tu m’as dit que Tu marchais toujours avec moi.
Mais je découvre maintenant
qu’aux pires moments de ma vie,
il n’y a les empreintes que d’une seule personne.
Pourquoi m’as-tu abandonnée
lorsque j’avais le plus besoin de Toi ? »
Il me répondit :
« Mon enfant chérie, Je t’aime
et Je ne t’abandonnerai jamais, jamais, jamais,
surtout pas lorsque tu passes par l’épreuve.
Là où une seule personne a marqué le sable de ses pas,
c’était Moi qui te portais. »
Margaret Fishback Powers
CONTE CHINOIS
Un mandarin partit un jour dans l’au-delà .
Il arriva d’abord en enfer.
Il y vit beaucoup d’hommes
attablés devant des plats de riz ;
mais tous mouraient de faim,
car ils avaient des baguettes longues de deux mètres
et ne pouvaient s’en servir pour se nourrir.
Puis, il alla au Ciel.
LÃ aussi, il vit beaucoup d’hommes
attablés devant des plats de riz ;
et tous étaient heureux et en bonne santé.
Eux aussi avaient
des baguettes longues de deux mètres,
mais chacun s’en servait
pour nourrir celui qui était assis en face de lui.
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